Le nez électronique se prépare à dépister des maladies

Catégorie(s) : Actualités, Innovation & société, Recherche

Publié le : 1 octobre 2022

Conçu à l’origine pour des usages industriels et grand public, le nez électronique d’Irig défriche une nouvelle application : le dépistage de maladies à un stade précoce.
Les cancers, en particulier, modifient le métabolisme et sa production de composés organiques volatils (COV) ; certains de ces COV constituent des biomarqueurs pertinents.
Les chercheurs ont atteint des limites de détection jamais égalées, de l’ordre de la partie par milliard en volume (ppbv), sur deux biomarqueurs des cancers œsogastriques.
L’élément sensible n’est plus une combinaison de peptides qui s’auto-assemblent en monocouche, mais une nanostructure 3D de morphologie parfaitement maîtrisée, obtenue à partir d’un seul peptide en solution.
Ce nez électronique n’est pas un dispositif médical, mais peut éventuellement contribuer au dépistage.

Contact : yanxia.hou-broutin@cea.fr

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